L'effet-mère Demeure dans mes bras mon enfant Dehors le monde est si cruel Moi j’ai vu, moi j’ai vécu Prend mes paroles pour de l’argent Mes menaces sont si douces Que tes pensées sont mon royaume Rien ne bat le confort de la maison Rien ne bat la protection de mon joug Cesse de pleurer, c’est pour ton bien Cesse de pleurer, c’est pour ton bien Apaise tes pleurs, jeune écervelé Cesse de pleurer N'ouvre tes yeux mon enfant Que pour regarder ce que je te dicte N’ouvre la bouche que pour dire Ce que je veux t’endendre dire Un jour tu verras, tu me remercieras Pour tout ce que j’ai fait pour toi Rien ne bat le confort de la maison Rien ne bat la protection de mon joug Cesse de pleurer, c’est pour ton bien Cesse de pleurer, c’est pour ton bien Apaise tes pleurs, jeune écervelé Cesse de pleurer Je suis le feu qui pense t’éclairer Mais dans le fond c’est moi qui te brûle J’envie ta jeunesse, j’envie ta vigueur Mais je ne fais rien pour que t'en profite Mes menaces sont si subtiles Que tes remords deviennent fardeau Rien ne bat le confort de la maison Rien ne bat la protection de mon joug Cesse de pleurer, c’est pour ton bien Cesse de pleurer, c’est pour ton bien Apaise tes pleurs, jeune écervelé Cesse de pleurer

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